Résumé:
Lorsqu’il a entrepris de constituer ces anthologies,
Hitchcock a toujours eu pour grand principe d’y
mêler l’humour à la mort. Ici, une fois de
plus, il réussit à donner une saveur incomparable
à ce grisant mélange, en y incorporant deux «
meurtres impossibles » : Le Pont de verre de Robert Arthur
et Les Assassins n’ont pas d’ailes d’Arthur
Porges, ainsi que quelques Variations sur un thème, dues
à C.B. Gilford, et le tout vous est servi à
L’Heure du perroquet, avec un zeste de Prophétie.
Aussi, nul doute que, en refermant ce volume, vous pensiez
comme Henry Slesar : « Compliments au chef ! »